Témoignages hypnothérapie

 

Vous trouverez surtout ce genre de témoignage de patient satisfaits de leur hypnothérapie sur le site internet des hypnothérapeutes IFHE (cf. Annuaire).
En voici tout de même quelques exemples :

 

« Changer avec L’Hypnose »

Un voyage dans le temps… Une renaissance
Jacqueline, novembre 2002

Témoignage

Voici mon témoignage. J’ai parfois bien du mal à le porter seule tant il est une véritable raz de marée dans mon existence. Je suis très isolée, avec mon histoire… mais c’est une telle renaissance, une vie toute nouvelle, toute neuve ! Je pense utile que vous communiquiez mon histoire au plus grand nombre.

J’ai 42 ans, je suis Docteur ès sciences (biologie) entre autre, mariée et mère de 2 enfants. C’est sans doute pas réaction au rationalisme dans lequel j’ai toujours baigné que j’ai décidé de faire un voyage dans le temps sous hypnose avec un psychothérapeute réputé dans ma région. Quinze ans auparavant il m’avait littéralement sauvé d’attaques de paniques terribles consécutives d’un choc émotionnel (ma mère fit une pancréatite nécrotique qui la mit entre la vie et la mort durant six mois).

Ma vie fœtale…
C’est en toute confiance que j’acceptai de jouer le jeu de la régression dans le temps, un peu à la manière d’une journaliste venant enquêter, ou d’une chercheuse qui veut des preuves pour elle-même. J’avais en effet découvert ce phénomène curieux au travers de mes lectures mais je ne savais qu’en penser. Je revis ma naissance et ma vie fœtale, cela je peux l’affirmer sans l’ombre d’une hésitation, sans bien entendu que cela me soit suggéré par le thérapeute, qui resta muet tout le temps des séances. D’ailleurs ce phénomène est bien connu.

Dans mes régressions, je vis les choses surtout de manière kinesthésique ; ainsi, lors de ma naissance, je sentis monter une peur primale indescriptible et mon cœur se mit à battre comme jamais je n’avais sentis auparavant. Lors de ma vie fœtale, je ne savais plus du tout comment mon corps était orienté, où était le haut, le bas… tout ça dans une grande paix.

Puis, le psychothérapeute m’enjoignit à reculer encore plus loin dans le temps. Cela peut paraître invraisemblable à une personne profondément matérialiste : « mais il n’y a rien avant! »… Là, je sais que les mots ne seront de toute manière pas suffisant pour décrire l’ampleur de l’aventure intérieure et que j’en serai le seul témoin.
J’eus l’impression d’être une petite fille, dans une cour de ferme par un jour de grand soleil (je comprendrai ensuite pourquoi les jours de grand soleil, comme en plein mois d’août, m’ont toujours laissé le sentiment d’un danger imminent aussi loin que je me souvienne), je sentais l’odeur de mes genoux… Je me vis dans un camion d’un modèle ancien… puis j’étais dans une cave en terre battue, et là… il fallut plusieurs séances pour que l’horreur sous-jacente perce enfin ma conscience… j’étais à terre, un homme, une sorte d’ouvrier agricole vêtu grossièrement et debout devant moi… et l’indescriptible arrive car je ne peux pas le décrire (en état de régression je vis REELLEMENT dans la peau d’une enfant de 5-7ans) : je sens que ma bouche est forcée à s’ouvrir, c’est un sentiment de panique intense, puis je sens une sensation terrible entre mes jambes (je revis un viol, vous l’aurez compris).

Une joie indescriptible…
Je me mis ensuite à étouffer POUR DE VRAI. Je me sentis étranglée, avec une sensation terrible de REALITE, j’étouffais littéralement, je cherchais désespérément le souffle, je paniquais, c’était effroyable… puis soudain, tout fut fini. Et alors, je sentis que « je » – quelque chose, mon être (je ne sais comment appeler cela) – quittais mon corps comme on enlèverait une combinaison bien ajustée, avec encore une sensation de REALITE (je n’ai jamais plus revivre cela depuis, c’est une sensation totalement inconnue mais profondément vraie que j’ai vécu alors dans un total sentiment de désespoir).
Lorsque l' »Etre » atteignit le niveau du cœur, je fus prise d’une détresse insupportable devant l’inéluctable, je savais que j’étais en train de mourir et que je quittais mon corps. Je vis alors la chambre de celle que je savais être ma mère (ce n’est pas la maison de mon enfance, j’en suis certaine), mais je la vis du haut, du plafond en quelque sorte, je ressentis une tristesse infinie pour Maman, je pleurais, je n’étais plus que douleur infinie.
Puis plus rien, et, de nouveau, l’Etre  » s’incarna » dans ce corps-ci comme une main rentrerait dans un gant un peu trop juste, et je ressentis une joie indescriptible, un bonheur d’être vivante comme jamais de ma vie je n’en ai ressenti !

Durant toutes les séances (il fallut 8 séances en tout), le thérapeute me faisait avancer ou reculer l’horloge du temps (lorsque par exemple, la souffrance était trop insupportable ou bien entre la « désincarnation » et la « réincarnation » où il ne se passait rien). Il fallut de nombreuses séances avant que je vive la « scène » deux fois, la première n’étant pas allée jusqu’au bout, non sans une grande appréhension la seconde fois car je ne voulais pas mourir, j’en avais très très peur, c’était comme si je le pressentais. Les deux anamnèses se sont déroulées absolument à l’identique, jusqu’aux mouvements du corps, les positions, les émotions…
Ce thérapeute est un homme remarquable de discrétion qui ne m’a donné aucun commentaire, qui n’a jamais, bien entendu, orienté quoi que ce soit, et au final m’a laissée totalement libre de juger.

Ce que je peux témoigner…
…c’est de la grande différence dans la manière de vivre une régression sous hypnose, d’avec un rêve (ambiance onirique), d’un rêve éveillé (un peu délirant), d’un fantasme (il n’y a généralement pas l’émotion avec). Ici, on est devant le souvenir vécu, avec toute sa charge affective. On m’a bien sûr rétorqué que j’avais peut être été violée dans mon enfance, mais si cela avait été le cas, pourquoi aurais-je vécu la mort par strangulation qui s’en suivi ?
Jamais je n’aurais imaginé me trouver confrontée avec une scène pareille. C’était là, dans mon inconscient, depuis si longtemps, sans que j’en sache rien ! Qu’une telle violence reste tapie dans l’inconscient d’une personne apparemment sans problème a de quoi surprendre ! J’ai simplement avoué naïvement à mon thérapeute que j’avais toujours eu un rapport « froid » à la sexualité, sans inhibition apparente mais sans affect. Il m’a expliqué que c’était souvent le cas d’enfants ayant subi des violences sexuelles…

8 mois après, je peux témoigner que mon existence, mon « moi » est en train de changer, sans que je le veuille vraiment. Les premiers temps ont été difficiles, il m’a fallut « digérer » l’aventure. Désormais je peux dire que je suis envahie par la grâce chère aux chrétiens (en fait, je pense que je pourrais aussi bien rallier n’importe quelle religion car c’est la dimension transcendantale qu’elle suppose qui m’attire irrésistiblement) avec l’évidence du « je sais » et pas du « je crois »… mais c’est si difficile à dire… Je vais même à l’église où j’ai fais ma première communion dans une attitude bien différente de nombre de mes contemporains.

Je multiplie les « états de grâce », les « écarts », des moments où j’ai l’impression de ne plus être vraiment normale, de ne plus sentir mon corps, d’être légère, sans poids, presque physiquement déconnectée, avec une conscience, je dirais, élargie (états de conscience modifiée ?). Je n’ai plus peur de la mort, pour un peu j’aspirerais presque à l’Autre Monde !
Mon petit ego a fondu définitivement ; je me sens sereine, purifiée, emplie de compassion pour l’Humanité entière (j’en vois qui sourient de scepticisme, mais c’est vraiment cela, ce n’est pas de la naïveté et cela ne m’empêche pas d’être lucide sur mes contemporains !).
Tout sentiment négatif m’a quitté, je me sens comme « angélique », ce qui est un peu solitaire dans ce monde ! Je me surprends moi-même au détour d’un miroir, car c’est comme si cette expérience avait même changé mes traits, l’expression de mon visage, de l’intérieur.

J’ai 42 ans et jamais je n’ai paru aussi jeune, je retrouve les traits, le regard que j’avais enfant, c’est très curieux.

Jacqueline

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QUELQUES AUTRES TÉMOIGNAGES…

 

« Je viens de consulter un de vos thérapeutes sur la liste.
Je me sens déjà plus soulagée, proactive, et détendue.
Je n’ai qu’un mot à dire : bravo ! »
– Myriam

 

« Je viens de finir mes séances d’hypnose car je n’en ai plus besoin.
J’ai eu une réticense au départ, et maintenant je voulais juste dire que grace à ce thérapeute
j’ai réussi à éliminer mes crises de spasmophilie, survenues après avoir passé un IRM.
Donc je conseille aux personnes qui en ont besoin d’y aller, car après la vie est différente.
Merci a vous
 » – Nathalie

 

« Je vais avoir 22 ans et j’ai traversé une période difficile, il y a quelques années.
J’ai consulté médecins et spécialistes, mais aucun n’entre eux n’a su m’aider. Je me suis ensuite tournée vers la « para-médecine » (énergéticienne, graphologue, et autres disciplines dont je ne me souviens plus des appellations…) mais cette fois-ci encore, sans succès apparent.
Sous conseil de mon généraliste, j’ai ensuite été consulter un hypnothérapeute. Cette démarche bouleversa ma vie. Ses techniques, ses pratiques, son éthiques, correspondaient totalement à ce que j’avais toujours recherché et attendu d’un thérapeute. Depuis mon plus jeune âge j’avais toujours été persuadée que la plupart de nos maux ne sont que les conséquences de causes plus profondes, enfouis dans notre inconscient. J’ai toujours eu le soucis d’essayer d’entendre mon inconscient et de surtout ne pas l’inhiber. Cet hypnothérapeute m’a soigné comme j’avais toujours rêvé qu’on me soigne.
Aujourd’hui, je vais bien, j’ai l’impression d’avoir été « débloquée ». J’aimerais que tous mes proches (même tous les hommes), fassent l’expérience de l’hypnothérapie. Après ma guérison j’ai continué ma vie (plus heureuse que jamais), j’ai fais les études dont je rêvais, je viens d’avoir le diplôme que je désirais, j’ai l’impression d’avoir trouvé ma voie… Merci »
– Audrey

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